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26
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01
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2024

Une cuisine de bistrot de haute volée chez Cléo par le chef Bruno Aubin, par Grazia

Dans son article "Une cuisine de bistrot de haute volée chez Cléo par le chef Bruno Aubin", Grazia vous partage son expérience au Restaurant Cléo :

À deux pas des Invalides, l’hôtel Le Narcisse Blanc accueille le restaurant Cléo, où l’on se régale des mets bistronomiques ultra-réconfortants du chef Bruno Aubin.

En ces temps hivernaux, on n’a plus que jamais besoin de réconfort. Pour en trouver, c’est bien souvent vers la nourriture qu’on décide de se tourner. Dans notre quête perpétuelle de bonnes adresses parisiennes où se délecter de plats qui mettent du baume au cœur, nous avons découvert Cléo, véritable repaire de fin gourmets intimiste et convivial niché au sein de l’hôtel Le Narcisse Blanc, à deux pas des Invalides. On s’y attable avec confiance quand on sait qu’en cuisine, c’est le chef Bruno Aubin qui mène la danse depuis bientôt cinq ans. L’ancien candidat de la douzième saison de Top Chef est de ces maestros des fourneaux qui savent composer des assiettes raffinées, qui n’en demeurent pas moins gourmandes et cajoleuses. Une cuisine chic, mais accessible qui ne manque pas de parler à tous les palais. Sans prétention aucune, il est l’homme d’une seule mission : celle de nous régaler avec lisibilité et générosité.

Chez Cléo, des plats qui mettent du baume au cœur

Il y parvient avec brio en proposant à l’heure du déjeuner une carte de style bistrot aux accents gastronomiques, qui change très régulièrement pour nous donner autant de raisons de prendre nos habitudes chez Cléo. À chaque fois, le menu offre le choix entre deux entrées, deux plats et deux desserts. Simple et efficace. Le jour de notre venue, on s’est d’abord régalé d’un ravissant ceviche d’anguille fumé. Une suggestion originale et pleine de peps qui a su ravir nos papilles. Sans doute autant que le plat principal pour lequel nous avons opté, à savoir un magret de canard à la cuisson rosée juste parfaite, sublimé par un jus aux saveurs de pain d’épices et de clémentines acidulées. Voilà exactement le genre de réconfort dont on avait besoin. Si on nous avait murmuré que la force et le talent de Bruno Aubin résidaient dans une maîtrise parfaite des sauces et des assaisonnements, les mets qui nous ont été servis n’en ont été que la confirmation. La conclusion à ce déjeuner sans l’ombre d’une fausse note ? Un dessert qui fait sans doute le même effet qu’un câlin : une pomme au four à peine revisitée, délicieusement fondante et caramélisée, qui fut une fois de plus un régal de la première à la dernière bouchée.

Découvrez cet article sur le site de Grazia.

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